Insectes : les espèces les plus menacées

Aujourd’hui plus de 40% des espèces d’insectes sont menacées et un tiers d’entre elles sont même en voie de disparition. Quelles sont ces espèces et quel est l’impact de leur disparition ?

1. Un déclin inquiétant

D’après une grande méta-étude datant de février 2019, les insectes dans leur globalité pourraient bien disparaître d’ici une centaine d’années. En effet, ceux-ci ont diminué de 2.5% par an depuis les 30 dernières années et leur taux d’extinction (ce qui correspond aux espèces qui n’ont pas été observées depuis plus de 50 ans) est huit fois plus grand que chez les mammifères, les oiseaux ou encore les reptiles.

Ce déclin dans les espèces est encore plus spécifiquement observé chez les Trichoptères (papillons de nuit) qui ont diminué de 68% depuis les dix dernières années. Effectivement, du à leur stade de larve aquatique avant leur forme de papillon, ils sont plus sensibles et vulnérables aux perturbations dans les cours d’eau. Les papillons au sens large disparaissent aussi de façon inquiétante (à 53%).

A syrphid is seen on a flower on June 25, 2013 in Lille, northern France. AFP PHOTO / PHILIPPE HUGUEN / AFP PHOTO / PHILIPPE HUGUEN

2. L’effet domino

Cette disparition massive est principalement due à la perte des habitats naturels des insectes, à cause de l’agriculture intensive, l’urbanisation et la pollution -notamment l’utilisation de fertilisant et pesticide. Les maladies et le changement climatiques y sont assi pour beaucoup. L’extinction des insectes est un réel problème en terme de biodiversité mais également car ils sont tout d’abord indispensable à la pollinisation des plantes et donc à la base de la chaîne alimentaire.

Ce problème devient alors un danger direct pour les oiseaux par exemple, les reptiles ou encore les amphibiens. La seule bonne nouvelle qui se dégage est celle des espèces qui développent de meilleures capacités d’adaptations, qui elles sont en hausse et occupent donc les niches vacantes laissées par les espèces disparues.

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L’invasion inquiétante des criquets en Afrique

Depuis janvier 2020, l’Afrique fait face à la pire invasion de criquets pèlerins jamais connue depuis 25 ans. Cet insecte migrateur est connu comme le nuisible au monde puisqu’il ravage tout sur son passage. Aujourd’hui sur europe enthomophagie , on vous en dit plus sur ce phénomène inquiétant.

1. Une invasion inquiétante due au réchauffement climatique

Le Kenya, l’Éthiopie et la Somalie ont été les premiers pays à être envahis par des dizaines de milliards d’insectes. Le criquet pèlerin est particulièrement dangereux quand il se déplace en groupe puisqu’il forme alors un gros nuage, mangeant toutes les verdures sur son passage. En groupe, ils peuvent facilement parcourir 150km en une journée. Les criquets ont déjà frappé l’Éthiopie, la Somalie, l’Érythrée, la Tanzanie, l’Ouganda, Djibouti, le Kenya, le Soudan et le Soudan du Sud.
Il y a eu six vagues de migration acridienne au XXe siècle, dont la dernière s’est produite en 1987-89. Aujourd’hui, le plus grand groupe de criquet mesure 2 400 kilomètres carrés et est composé de 200 milliards d’insectes qui consomment 400 000 tonnes de nourriture chaque jour.
Les criquets pèlerins sont originaires d’Arabie saoudite, d’Oman et du Yémen, des zones touchées par les ouragans en 2018. Avec de fortes pluies qui provoquent la croissance de nombreuses plantes, ce phénomène entraîne la multiplication des criquets. En outre, la guerre au Yémen a empêché les autorités de contrôler ces insectes dont le nombre continue de croître. Il est inoffensif au début, mais une fois sa population augmentée, il forme des groupes destructeurs et se déplace rapidement.

2. Une grave crise alimentaire

Le fort appétit de ces criquets aura de nombreuses conséquences pour les pays touchés, en particulier les pays d’Afrique de l’Est. Cet insecte se nourrit uniquement de plantes vertes, il prive donc certaines personnes de nourriture dans une zone où des difficultés alimentaires existent déjà. La crainte d’une crise humanitaire majeure est forte dans une région où 12 millions de personnes sont déjà sous-alimentées, selon l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. L’économie est également menacée parce que les criquets mangent aussi des aliments destinés aux animaux. Au Kenya, 34% du PIB du pays provient de l’agriculture.

3. Peu de solutions efficaces

Le seul moyen de lutter contre les essaims de criquets est de larguer des pesticides par avion le matin, lorsque les insectes sont endormis. Selon les Nations Unies, une solution coûteuse qui nécessite 76 milliards de dollars. L’ONU demande que la communauté internationale soit mobilisée pour atteindre cet objectif. Jusqu’à présent, seulement 15,4 millions de dollars ont été recueillis. En plus du coût, cette méthode n’est pas très efficace et doit couvrir plusieurs hectares.

De nombreux soldats protégés par une tenue plastique avec capuche, masque et lunettes pulvérisent des pesticides sur les arbres et plantes. Mais ils n’arrivent à atteindre que la végétation la plus basse et les groupes de criquets réussissent à s’envoler.
Une autre solution serait de réussir à capturer ses criquets dévastateurs afin d’en faire une source d’alimentation.

En effet, connus comme insectes apéro, les criquets sont source de protéines, vitamines, minéraux et acides gras essentiels. Et pour plus d’idées recettes, le livre 60 recettes à base d’insectes vous donne tous ses secrets d’entomophagie.

Le gendarme : l’insecte le plus inoffensif

Le gendarme (Pyrrhocoris apterus), l’insecte le plus inoffensif

Du plus petit au plus grand tout le monde connait les gendarmes, les adorent les regarder et passent beaucoup de temps à les observer.
Dès l’école primaire nos petits avec leurs instituteurs observent les gendarmes, et cela est très intéressant et attractif pour les petits.

Ils étudient le comportement de ces insectes aussi bien en classe qu’en cour de récréation. Le gendarme vit entre autres en Europe et autour du bassin méditerranéen dans des régions à climat tempéré, par contre vous n’en trouverez pas en montagne.

Le gendarme ou pyrrhocore

De son nom scientifique Pyrrhocoris apterus (signifiant en grec feu et punaise), le pyrrhocore a plusieurs noms familiers : « gendarme », bien sûr, mais aussi « suisse », « soldat », parce que ses couleurs rouge et noir rappellent celles des uniformes de gendarmes et gardes d’autrefois, ou encore « punaise rouge », « punaise au corps de feu », « cherche-midi », ces noms s’expliquant par sa recherche constante d’une bonne exposition au soleil.

L’apparence du gendarme :

La taille est d’environ 10 mm (de 9 à 11,5 mm de longueur). L’animal est doté d’un squelette externe dont la cuticule présente des dessins rouge orangé et noirs évoquant un masque de style africain, et qui découragerait certains prédateurs (coloration aposématique). Cela ressemble aussi à deux paires d’ailes rouges marquées chacune d’un point noir, restes d’une lente évolution, faisant croire à un insecte prêt à s’envoler.
Le gendarme a une tête noire non tachetée avec un œil rouge-violet de chaque côté.
Le bouclier cervical ou pronotum est de forme carrée, une tache noire carrée au centre et un bord rouge. Derrière le pronotum se trouve le scutellum ou bouclier, une petite plaque triangulaire derrière laquelle se trouvent les ailes antérieures. Le scutellum est de couleur noire, mais comme la partie arrière des ailes est ourlée de noir et est juxtaposée au scutellum, le scutellum fait visuellement partie d’un plus grand triangle noir. Les ailes antérieures sont chez ce type d’insectes composées de différentes parties. La partie arrière se nomme clavus et est noire, la partie centrale est le corium et la partie externe est l’embolium. Le corium et l’embolium sont tous deux de couleur rouge vif, mais présentent une petite tache noire à l’avant et un point nettement plus grand sur le dos. À l’arrière, les segments de l’abdomen des gendarmes dépassent des deux côtés, causés par les latérogites. Ce sont de petites plaques situées à l’extérieur des plaques arrière réelles du tergum.
La teinte et la forme des taches sont conditionnées par des éléments extérieurs : l’étendue des pigments noirs est influencée par la température. Les individus brachyptères, voire aptères, sont très fréquents. Ceux pourvus de longues ailes sont incapables de voler. Ils vivent souvent en grands groupes.
L’aspect de certaines punaises rouge et noir du genre Eurydema peut prêter à confusion (notamment la Punaise rouge du chou), mais une observation attentive de leur morphologie générale et des motifs permet aisément de les distinguer d’un gendarme.

Le gendarme mesure autour d’un centimètre de long, c’est la punaise d’Europe la plus répandue et la plus commune, mais sans odeur. Cet insecte, comme toutes les punaises, est hémiptère hétéroptère c’est à dire qu’il a un appareil buccal de type piqueur-suceur, deux paires d’ailes (les postérieures membraneuses et les antérieures partiellement cornées), et de longues antennes. Cependant, beaucoup de pyrrhocores n’ont pas d’ailes ou n’en ont que de très courtes, ce qui fait qu’ils ne volent pas.
Les dessins rouge et noir que le gendarme arbore sur le dos ne sont pas des maquillages de type aborigènes ni des masques africains même s’ils y font penser, mais ils auraient quand même une vocation aposématique précise : celle d’effrayer ses prédateurs. Toutefois, il faut savoir que tous les gendarmes ne portent pas tous le même uniforme : plus il fait chaud, plus le noir sera important.
Vous aurez du mal à voir les oeufs pondus par la femelle gendarme (une soixantaine !) qui sont noirs et enfouis dans un peu de terre ou de feuilles mais vous pouvez peut-être apercevoir les larves rouge orangé qui éclosent en mai puis hiberneront avant de ressortir à l’état adulte dès l’apparition des premiers rayons de soleil.

Le gendarme n’est pas un ennemi du jardin

Le pyrrhocore est un insecte grégaire, dont le rassemblement qu’il produit est parfois très impressionnant particulièrement sur les troncs d’arbres ou autour des tilleuls et hibiscus, végétaux qu’il affectionne particulièrement puisqu’il se nourrit, entre autres, de leurs graines et sucs ainsi que de ceux des roses trémières notamment. Il mange aussi d’autres insectes (morts ou vivants) ainsi que leurs oeufs, il est donc bon pour votre jardin.
Ne tentez pas d’éradiquer ses larves ou les insectes si vous les voyez en colonie dans votre jardin, ils n’en sont pas des ravageurs.

Les insectes comestibles : les plus riches en nutriments !

La valeur nutritionnelle des insectes comestibles varie considérablement et les insectes comestibles sont riches en nutriments favorisant la santé humaine.

Dans cet article, vous apprendrez :

À propos de la valeur nutritionnelle des insectes comestibles,
Comment certains insectes comestibles sont encore plus sains que le bœuf et le poulet.
Les insectes comestibles qui fournissent les nutriments les plus bénéfiques pour vous.
Pourquoi les insectes comestibles peuvent développer votre cerveau, réduire l’inflammation et améliorer votre santé intestinale.
Et pourquoi la valeur nutritionnelle des insectes comestibles varie tellement.

La plupart des insectes comestibles sont riches en protéines, en graisses, en fibres et en énergie et peuvent être une source importante de vitamines et de minéraux pour les humains.

La valeur nutritionnelle varie selon les espèces, leur environnement, leur situation géographique, ce qu’elles mangent et leur stade de développement.

De même, la valeur nutritionnelle change en fonction de la préparation et du traitement avant consommation (séchage, cuisson, friture, etc.)

La valeur nutritionnelle des insectes est comparable à celle des viandes conventionnelles et, dans certains cas, même plus saine que le bœuf ou le poulet.

En outre, ils peuvent également avoir des effets bénéfiques sur la santé. Comme fournir les éléments essentiels nécessaires au développement du cerveau, améliorer la santé intestinale et réduire l’inflammation.
Conclusion:

La valeur nutritionnelle des insectes comestibles varie et les insectes comestibles sont riches en nutriments favorisant la santé humaine.

Quels types de nutriments les insectes comestibles contiennent-ils ?

Les principales parties nutritives des insectes comestibles sont les protéines et les graisses, suivies des fibres, des minéraux et des vitamines.

La plupart des insectes comestibles contiennent des quantités satisfaisantes de protéines, tout en répondant aux besoins en acides aminés des humains. La teneur en protéines des insectes comestibles varie de 13 à 81% de la matière sèche.

La teneur en matières grasses des insectes comestibles varie de 2 à 77% de la matière sèche.

De nombreux insectes comestibles sont riches en acides gras monoinsaturés et / ou polyinsaturés (AGPI), où la teneur totale en AGPI peut représenter jusqu’à 70% des acides gras totaux.

Les aliments riches en AGPI sont essentiels pour la santé humaine et le développement du cerveau.

Les teneurs en fibres d’insectes comestibles vont de 5,1% pour les termites à 13,6% pour les vraies punaises (hémiptères).

Cela provient principalement de la chitine, un glucide présent dans l’exosquelette des insectes.

Les bienfaits de la chitine :

La chitine présente de nombreux avantages pour la santé, notamment l’augmentation de la défense immunitaire, ainsi que la lutte contre l’inflammation et le cancer.

Les insectes comestibles sont également riches en micronutriments essentiels, notamment le cuivre, le fer, le magnésium, le manganèse, le phosphore, le sélénium et le zinc, ainsi que des vitamines telles que la riboflavine, l’acide pantothénique, la biotine et, dans certains cas, l’acide folique.

Le contenu énergétique des insectes comestibles séchés varie de 426,3 kcal / 100 g pour les sauterelles, criquets et grillons (orthoptères) à 777 kcal / 100 g pour les chenilles (lépidoptères).
Combien de grillons dois-je manger pour répondre à mes besoins quotidiens en calories ?

Pour répondre à votre besoin calorique quotidien de 2500 kcal, vous pouvez manger 500 grammes de grillons séchés. En faisant cela, vous obtiendrez également 305 g de protéines, 70 g de matières grasses et 50 g de fibres.

Pourquoi les insectes comestibles sont une bonne source de protéines ?

Les protéines sont les éléments constitutifs de notre corps. Notre corps est composé de protéines de nos os à nos muscles, organes, artères et veines, peau, cheveux et ongles.
Les protéines sont un nutriment important et bien que la plupart d’entre nous mangent suffisamment pour éviter une carence, certaines personnes pourraient bénéficier d’un apport en protéines beaucoup plus élevé. Avantages comme une perte de poids améliorée et une augmentation de la force et de la masse musculaire.
Cependant, la façon dont nous obtenons aujourd’hui des protéines d’origine animale n’est pas viable.
C’est là que les insectes comestibles et riches en protéines entrent en scène!
Pour produire 1 kg de protéines d’insectes comestibles, vous avez besoin de 4 fois moins d’eau, 5 fois moins d’aliments, 13 fois moins de terre et émet 100 fois moins de CO2 que de produire 1 kg de protéines de bœuf comestibles.
Cela signifie que vous pouvez obtenir vos protéines, améliorer votre santé et « sauver la planète » en obtenant davantage de protéines provenant d’insectes.
Maintenant vous demandez peut-être,
« Quels insectes comestibles dois-je manger pour augmenter mon apport en protéines ?»
Et c’est une excellente question !
La teneur moyenne en protéines peut varier de 13 à 81% de la matière sèche pour les insectes comestibles capturés à l’état sauvage et de 38 à 72% pour les insectes d’élevage.

Teneur en protéines (% en matière sèche) pour 7 espèces différentes.
Fait amusant, la teneur en protéines peut être encore plus élevée que celle mesurée, car certaines protéines peuvent être liées dans l’exosquelette

Quelles sont les nouvelles techniques de greffe de cheveux ?

 

Il est de plus en plus difficile pour les hommes comme pour les femmes de passer outre une calvitie ou une perte de cheveux avancée. En effet les cheveux ont un fort impact sur la capacité de séduction et la confiance en soi que peut avoir un individu. Alors perdre ses cheveux entraîne une perte de confiance, pouvant aller jusqu’à la dépression. Fort heureusement, de nos jours de nombreuses techniques ont été imaginées et développées afin de résoudre ces soucis de la meilleure des manières. La greffe des cheveux fait partie d’un des moyens de résoudre les problèmes de calvitie. Au fil des décennies, cette solution a été utilisée sur les cheveux des hommes, mais aussi des femmes, et elle a été améliorée avec le temps par différentes techniques.

En quoi consiste une greffe de cheveux ?

La greffe de cheveux consiste globalement à prélever des follicules pileux en bonne santé d’une zone donneuse pour les implanter dans la zone à traiter. Les implants capillaires sont généralement prélevés de la tête même du patient, cela évite les rejets de différentes sortes. La zone donneuse est située à l’arrière de la tête, c’est celle où on retrouve les cheveux en grand nombre et ces derniers ne tombent pas autant que ceux des autres zones. Ainsi, les cheveux réimplantés sur la zone à problèmes pousseront normalement et seront identiques en tout point aux cheveux d’origine. C’est un autre avantage de la greffe de cheveux, elle garantit un résultat naturel au fil des mois.

Les principales techniques utilisées pour une greffe de cheveux étaient la FUE et la FUT. Avec les progrès observés dans la chirurgie esthétique une nouvelle technique a vu le jour, afin d’offrir des résultats toujours plus performants. Cette nouvelle technique est la FUSS. La FUT est la technique qui a vu le jour en premier, jusqu’au développement de la Follicular Unit Extraction (FUE) et de la Follicular Unit Single Strip (FUSS). Il est difficile de dire laquelle des trois techniques est la meilleure, chacune ayant ses particularités. Le chirurgien en charge de votre traitement est le seul habilité à vous proposer la technique qui correspond le mieux aux résultats que vous souhaitez obtenir. Ces techniques restent assez semblables les unes des autres. La FUE et la FUSS utilisent les bandelettes. Cela consiste à prélever une bandelette de cuir chevelu afin d’en extraire les greffons qui seront implantés dans la zone à traiter.

L’évolution des différentes techniques de greffes de cheveux

Nous pouvons segmenter les techniques de greffe de cheveux en deux groupes: les greffes par FUT, FUE, et les greffes par FUSS. Quelles techniques donnent les meilleurs résultats? Il n’y a pas de réponse parfaite car la technique utilisée est fonction de la calvitie à traiter. Toutefois, nous pouvons parler de quelques-uns des effets indésirables de ces techniques. Avec la greffe par FUT et celle par FUE on observe de légères cicatrices sur la zone donneuse, à l’arrière de la tête. Celles-ci sont encore plus visibles si vous avez une chevelure fine. La FUE et la FUSS sont considérées comme des déclinaisons de la FUT, elles se servent de techniques de suture pointues et aboutissent à des résultats toujours plus discrets. Quelques fois la FUE et la FUSS sont associées pour traiter des zones importantes.

Parlons de la petite dernière de toutes ces techniques de greffe: la FUSS. La FUSS est une technique de greffe de cheveux de 3ème génération. Elle consiste à implanter des cheveux prélevés par bandelette de la nuque ou des tempes sur les zones dégarnies. La FUSS est pratiquée sous anesthésie locale et permet de transplanter pas moins de 2000 greffons jusqu’à 5000 en une seule séance. C’est l’une des solutions qui permet d’obtenir une chevelure naturelle et discrète. Le résultat obtenu est naturel et plus dense que la chevelure d’origine. Les techniques de greffes de cheveux évoluent continuellement, et elles restent basées sur le principe d’extraction et de réimplantation.

S’adapter à un régime composé de larve de rhinocéros

larves de rhinocéros

Quand vous entendez le mot « larve de rhinocéros« , n’allez pas penser qu’il s’agit en fait de larves provenant d’une bête gigantesque tel le rhinocéros. Il s’agit en fait de la larve des scarabées dit rhinocéros, ce qui est due à leur morphologie bien spécifique qui rappelle vaguement celle de l’imposant mammifère, mais en miniature. Les entomophages adorent croquer ses larves de rhinocéros croustillantes pour maigrir car leur goût est tout simplement épatant, surtout quand on sait les cuire. Lire la suite…

Des insectes à l’apéritif, hmmm !

insectes à l’apéritif

Vous souhaitez avoir des invités pour le diner tout en leur réservant un accueil chaleureux et insolite. Tous sont personnes qui n’ont encore jamais eu l’occasion de découvrir les délices de l’entomophagie.

Vous vous demandez alors comment leur faire passer le test. Vous pourrez, bien sûr, cuisiner un plat savoureux et y incruster discrètement quelques fourmis insectes comestibles. Lire la suite…

Scarabée rhinocéros et premières expériences entomophages

scarabee rhinocéros

Entre les belles sauterelles, les vers de soie et les vers de bambou mais sans oublier les chenilles du Congo, il aurait été facile d’oublier un autre insecte comestible. Le scarabée. Qui reste peut-être un animal assez repoussant mais de manière assez surprenante, s’accompagne très bien avec de nombreux types de menus différents. Que ce soit pour l’apéritif, le plat de résistance ou encore le désert, le scarabée rhinocéros est arrangeant. Lire la suite…

Insectes & Chocolat, une idée et une réalisation terriblement efficace

insectes en dessert

Vous êtes amateur de sucreries et vous aimez, vous adorez les bonbons et vous… vouez un culte au chocolat. Alors cet article est fait pour vous.

Vous allez être surpris par ce mélange improbable entre deux saveurs radicalement éloignés. Des insectes comestibles sur vos chocolats préférés ou inversement ! Lire la suite…

Scorpion, vous avez dit scorpion

scorpion comestible

Le scorpion, cet insecte qui s’il est venimeux (toutes les espèces ne le sont pas), laissera toujours une impression de peur et de terreur.

Même en sachant que toutes les espèces ne sont pas empoisonnées et même celles qui le sont ne sont pas forcément mortelle, nous avons toujours une impression d’extrême dangerosité en les voyant. Malgré leur mauvaise réputation, certains n’hésitent pas à en consommer régulièrement.

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